Il y a beaucoup d'informations. Il vaut mieux commencer par chercher ici !

Generic filters
Sur ces mots seulement
Chercher un titre
Chercher dans le contenu
Chercher dans le résumé
Trier par type d'article
Actualités
Coin Quotidien
En cas d'urgence
Coin Intempéries
Coin Conjoncture, COVID, tensions internationales
Coin Conférences de presse
Frontières & Immigration
Vaccinations (Toutes)
Events

Essayez une recherche comme : fiscalité des retraitésmy numberimmigration...

Pas de réponse ? Cliquez sur l’icône en bas à droite de cet écran !
Actualités | Support | Soutenir le site / Offrir un café

Catégories

Pour tous ceux qui nous lisent

Comme toujours, Infos Locales au Japon et Infos Kyushu mettent ces documents à titre d’information. Nous pouvons avoir mal compris ou traduit l'information, ou celle-ci peut avoir évolué depuis l'écriture de cet article. Nous mettons également à jour nos articles si la situation le demande, mais cela peut parfois prendre du temps. Nous encourageons donc chacun à vérifier les informations à la source, et de se tenir régulièrement informés par NHK Japon ou NHK World.

En cas d'urgence COVID

En cas d'urgence non-COVID

IMG - Numéros de téléphone en cas d'urgence
Numéros de téléphone en cas d'urgence (non COVID). Ce document contient aussi les informations pour contacter une ambassade etc. en urgence.

Pourquoi s’inscrire au Consulat ?

IMG - Ambassade & consulats
...lorsqu’on vit ou voyage à l’étranger, c'est important parce que... (lire la suite)

2023-03-10 Sur l’ouverture des frontières et la classification de la COVID

Vous êtes ici :
< Retour
Table des matières

Le ministre de la Santé, du Travail et des Affaires sociales annonçait, le 10 mars 2023, que

  • Les mesures aux frontières ne s’appliqueront plus lorsque la COVID passera à la catégorie 5 (le 8 mai). Cela signifie qu’il ne sera plus nécessaire de produire un certificat de vaccination ou de test PCR pour entrer au Japon. Le gouvernement se réserve la possibilité de les réimplémenter si un nouveau variant présente un danger pour la population.
  • Le coût des traitements COVID étant plus élevé que pour la grippe, le gouvernement appliquera, jusqu’en septembre, un tarif équivalent à celui des traitements de la grippe.
  • Le plafond des frais hospitalisations COVID bénéficiera d’une réduction d’un maximum de 20 000 yens quand le coût de l’hospitalisation atteint le plafond des soins chers.
  • Les établissements médicaux ne pourront plus refuser de prendre en charge un patient sous le seul prétexte que le patient pourrait ou est infecté par la COVID.
  • Les vaccinations resteront gratuites pour le moment. cf : 2023-01-27 Premier ministre sur le passage de la COVID à la catégorie 5.
  • L’ensemble des mesures sera finalisé mi-avril, pour une implémentation le 8 mai 2023.

Source : 加藤大臣会見概要 |令和5年3月10日(新型コロナウイルス感染症対策本部後)|大臣記者会見|厚生労働省 (mhlw.go.jp)

Conférence de presse du ministre Kato (après la réunion des quartiers généraux des mesures contre le nouveau coronavirus)

Le vendredi 10 mars 2023 de 18:28 à 18:50

Ministre Kato

Les quartiers généraux de lutte contre le nouveau coronavirus viennent de tenir une réunion par rotation. À cette occasion, le gouvernement a décidé des termes de la révision (etc.) du système de fourniture de soins médicaux et de la couverture publique des frais à partir du changement de classification du nouveau coronavirus dans le cadre de la loi sur les maladies infectieuses.

Conformément à la décision du 27 janvier, le gouvernement devait annoncer début mars les détails spécifiques du système de fourniture de soins médicaux et de la couverture par les dépenses publiques à compter du 8 mai 2023, lorsque la COVID-19 rentrera dans la catégorie 5 des maladies infectieuses. Nous avons écouté attentivement les avis des autorités locales et des organisations de soins de santé pendant le processus d’analyse et de coordination du projet. Je souhaite donc présenter ici le contenu principal des décisions de ce jour. Celui-ci se trouve aussi dans le document « Révision (etc.) du système de fourniture de soins médicaux et de la couverture publique des frais à partir du changement de classifications du nouveau coronavirus dans le cadre de la loi sur les maladies infectieuses ». Mes explications utilisent ces diapositives.

Toutes les institutions pourront
s’occuper des patients COVID

Avec le changement de classification de la COVID en vertu de la loi sur les maladies infectieuses, le système de fourniture de soins médicaux passera d’une implication importante de l’administration concernant les mesures d’hospitalisation, par exemple, et d’une prise en charge particulière par un nombre limité d’institutions médicales à une gestion normale et autonome par un grand nombre d’établissements médicaux.

C’est pourquoi, en coopération avec les préfectures, nous mettrons la priorité aux initiatives qui visent à encourager la participation d’un large éventail d’institutions médicales, en préparation de la propagation des infections pendant l’hiver.

Changement des honoraires

Par ailleurs, après les mesures temporaires de rémunération des honoraires médicaux, nous reverrons simultanément, en avril 2024, les honoraires pour les soins médicaux et les soins infirmiers, y compris pour les personnes en situation de handicap. De cette manière, nous passerons à un système de fourniture de soins médicaux équipé d’un nouveau système de paiement des soins de santé qui inclura la gestion de la COVID-19. En attendant, nous vérifierons / analyserons la façon de gérer toute propagation du virus et l’état du système de fourniture de soins médicaux. Une fois fait, nous prévoyons d’effectuer les révisions nécessaires selon les résultats.

Maintien d’une partie des
subventions aux établissements
médicaux pour lutter contre la COVID

Comme la seconde diapositive le montre, pour passer à une gestion par des soins ambulatoires et l’hospitalisation dans de nombreuses institutions médicales, nous reverrons les mesures contre les infections pour en améliorer l’efficacité. De même, nous continuerons d’accorder des subventions, notamment pour l’entretien du matériel et pour sécuriser les équipements de protection.

Les médecins ne pourront plus
refuser les patients
juste parce qu’ils ont infectés

De plus, nous souhaitons augmenter le nombre d’établissements médicaux participants. Nous reverrons l’obligation de prise en charge des médecins (etc.) de s’occuper des patients. Pour cela, nous énoncerons explicitement que le refus de s’occuper d’un patient sur la simple raison qu’une personne est infectée ou suspectée infectée par la COVID n’est pas une « raison légitime ».

Augmenter le nombre
d’établissements traitant la COVID

En outre, nous préparerons et diffuserons du matériel pédagogique, y compris un manuel de traitement médical, pour faciliter la compréhension des institutions médicales et des autorités locales. Grâce à ces efforts, nous visons à augmenter le nombre d’établissements médicaux pouvant prendre en charge la grippe saisonnière à un maximum de 64 000, alors qu’actuellement environ 42 000 établissements médicaux au niveau national peuvent prendre en charge les cas ambulatoires.

En outre, les gouvernements nationaux et préfectoraux suivront et géreront régulièrement l’évolution du nombre de structures médicales capables d’intervenir, afin de se préparer à l’augmentation et au maintien du nombre d’institutions médicales dont je viens de parler. Par ailleurs, pour le moment, nous continuerons la publication des noms et autres informations des institutions médicales qui peuvent traiter la COVID-19.

L’objectif est de faire en sorte que les 8 200 hôpitaux du pays assurent les hospitalisations.

Les préfectures doivent formuler le contenu de leur plan de transition pour augmenter (etc.) le nombre d’institutions médicales d’accueil, et encourager ces nouveaux établissements à accepter les patients. De plus, nous espérons qu’elles lanceront rapidement des initiatives sans attendre la formulation du plan.

La réorganisation des institutions
médicales tiendra compte de la gravité
des symptômes

Nous aspirons à de nous concentrer sur les quelque trois mille institutions médicales prioritaires qui ont sécurisé jusqu’à présent des lits pour les patients en état grave ou modéré de niveau 2.

En revanche, nous prévoyons de promouvoir activement l’accueil des patients souffrant de symptômes bénins à modérés (de niveau 1) dans les établissements médicaux qui ont déjà une expérience d’accueil, sans être des institutions médicales prioritaires, dans les services hospitaliers de soins complets et les services d’hospitalisation communautaires généraux, surtout pour les personnes âgées. Parallèlement, nous souhaitons encourager l’accueil dans les établissements médicaux qui n’en ont pas encore l’expérience.

De plus, la coordination des hospitalisations qui était du ressort des autorités locales (etc.) tombera en principe sous la responsabilité des institutions médicales. Pour y parvenir, nous prévoyons d’utiliser le G-MIS et d’autres outils qui permettront de partager les informations sur les disponibilités de lits entre chaque hôpital et clinique.

Afin d’assurer une transition en douceur, le cadre de coordination administrative restera en place pour le moment. Ensuite, en prévision de la propagation des infections pendant l’hiver, nous commencerons par la coordination entre les institutions médicales pour les patients avec des symptômes bénins à modérés de niveau I. À partir de cet automne, nous passerons à la coordination pour les patients avec des symptômes graves ou modérés de niveau 2. Nous envisageons donc un soutien aux établissements médicaux sous cette forme au lieu de sécuriser des lits d’hôpitaux.

Sur les nouveaux honoraires

Je passe à la révision des honoraires médicaux. Compte tenu de la situation dans les établissements médicaux, nous avons décidé de réviser les mesures exceptionnelles relatives aux honoraires médicaux.

Premièrement, pour les soins ambulatoires, les mesures exceptionnelles liées au nouveau coronavirus contiendront toujours une évaluation du contrôle des infections nosocomiales. En outre, tout en procédant aux révisions nécessaires pour réduire la charge administrative, etc., nous lancerons une nouvelle grille d’évaluation pour les situations qui ont nécessité une coordination des hospitalisations pour un patient COVID.

Frais médicaux COVID en ambulatoire après le 8 mai 2023

Actuellement (jusqu'au 7 mai)À compter du 8 maiPour référence : s'il n'y avait pas d'aides pour couvrir les traitements COVID
#Rowspan#COVIDGrippeCOVIDGrippeCOVIDGrippe
Personnes de 75 ans ou plus (Prise en charge à 10%)860円1 170円1 240~1 390円1 330~1 480円 10 670~10 820円1 330~1 480円
Moins de 75 ans (prise en charge à 30 %)2 590円3 510円3 710~4 170円3 990~4 450円32 010~32 470円3 990~4 450円
Conditions : À partir du 8 mai, l'exception spéciale COVID incluse dans les frais de consultation initiale, etc., continuera d'être évaluée en relation avec les mesures de contrôle des infections nosocomiales. Les révisions s'accompagneront de procédures administratives simplifiées pour les alléger.
Les calculs supposent que l'on prescrit du CALONAL et du LAGEVRIO en cas de COVID, et du CALONAL et le TAMIFLU en cas de grippe.

※1 À compter du 8 mai, les patients devront payer pour les tests de dépistage avant la vérification de positivité et les traitements médicaux après vérification de la positivité.
※2 Les médicaments pour traiter la COVID seront financés par les dépenses publiques.

Pour l’hospitalisation, les mesures exceptionnelles concernant les patients gravement malades ou avec un niveau modéré de symptômes (etc.) feront l’objet des révisions nécessaires. Ces changements tiendront compte de la situation réelle liée à l’amélioration de la répartition des ressources humaines. D’autre part, nous proposerons une nouvelle grille de tarifs qui tiendra compte de l’augmentation des tâches administratives liées aux soins infirmiers dispensés aux patients hospitalisés. Tous ces changements viennent d’être approuvés par le Conseil médical central des assurances sociales, qui vient de se tenir par réunions tournantes.

Frais médicaux COVID en cas d'hospitalisation après le 8 mai 2023

Personnes de 75 ans ou plusActuellement (jusqu'au 7 mai)À compter du 8 maiPour référence : s'il n'y avait pas d'aides pour couvrir les traitements COVID
#Rowspan#COVID
(Frais repas)
Grippe
(Frais repas)
COVID
(Frais repas)
Grippe
(Frais repas)
COVID
(Frais repas)
Grippe
Personnes non imposables avec un revenu inférieur au plancher (17 %)0円
(0円)
15 000円
(1 800円)
0円
(3 000円)
15 000円
(1 800円)
15,000円
(3 000円)
15 000円
(1 800円)
Personnes non imposables (24 %)0円
(0円)
24 000円
(3 780円)
4 600円
(6 300円)
24 000円
(3 780円)
24 600円
(6 300円)
24 000円
(3 780円)
Jusqu'à un revenu de 3,83 millions de yens (52 %)0円
(0円)
24 000円
(8 280円)
37 600円
(13 800円)
24 000円
(8 280円)
57 600円
(13 800円)
24 000円
(8 280円)
Conditions : À partir du 8 mai, révision des mesures spéciales concernant les patients modérément ou gravement malades (etc.), qui tient compte de la situation réelle et de l'amélioration de l'efficacité des opérations ou du personnel (4 à 6 fois → 2 à 3 fois). Présuppose une hospitalisation de 10 jours en cas de COVID et de 6 jours en cas de grippe.
※ Lorsqu'on applique les plafonds pour soins coûteux.
※ Le pourcentage entre parenthèse représente le nombre de personnes affiliées dans cette catégorie de revenus par rapport au nombre de personnes pour cette tranche d'âge.

Sur la sécurisation des lits

La diapositive suivante présente la révision des montants pour sécuriser des lits d’hôpitaux. Les tarifs liés à la sécurisation des lits d’hôpitaux ont, jusqu’à présent, fait l’objet de modifications simultanément à celles des honoraires médicaux. Ils se fondaient sur les conclusions de la Commission des comptes et la situation sur le terrain.

Cette fois encore, nous avons décidé d’en revoir le montant jusqu’au mois de septembre pour le moment, en tenant compte des révisions des honoraires médicaux que je viens d’énoncer. Ensuite, dans la perspective d’une utilisation efficace des lits d’hôpitaux, nous revoyons le décompte des lits inoccupés. À la base, ceux-ci pourront représenter jusqu’à la moitié des lits. Cette révision des tarifs pour sécuriser les lits d’hôpitaux est prévue jusqu’à fin septembre. Si nécessaire, elle fera l’objet de changement par la suite, selon l’évolution de l’étendue des institutions médicales qui accueillent ces patients, etc.

Installations pour personnes âgées

Je passe à la gestion des installations pour personnes âgées, etc. Compte tenu du fait qu’un grand nombre de personnes à fort risque d’aggravation des symptômes vivent dans ces établissements, il faut sécuriser un système qui permette d’hospitaliser correctement et sans difficulté les personnes âgées qui en ont besoin.

Dans le même temps, il faut notamment que ces établissements appliquent rigoureusement les mesures contre les infections, qu’ils renforcent leur coopération avec les autres établissements médicaux, et que l’on garantisse un système de convalescence, etc. Il faut d’abord sécuriser un tel système, puis maintenir pour le moment les mesures de subvention envers les établissements de soins pour personnes âgées dans lesquels se passent les soins de convalescence.

Sur la couverture des frais
par les dépenses publiques

Je passe au soutien des patients (etc.) par les dépenses publiques. Parce que les mesures d’hospitalisation (etc.) ne seront plus obligatoires après le changement de classification, la couverture des patients par les dépenses publiques changera et les patients devront débourser une partie des frais. Toutefois, pour éviter que ces changements induisent une charge soudainement importante, les frais liés au traitement médicamenteux de la COVID resteront pris en charge par les dépenses publiques pendant une durée limitée.

En outre, dans le cas des frais d’hospitalisation, nous réduirons pour le moment le plafond du co-paiement 自己負担限度額 pour les frais médicaux élevés 高額療養費 de 20 000 yens au maximum.

L’État continuera d’abord par couvrir ceux-ci par les dépenses publiques jusqu’à fin du mois de septembre. Ce-faisant, le ticket modérateur pour les frais médicaux devrait revenir au même niveau de dépenses ou moins cher que pour les patients atteints de grippe. Il pourrait y avoir une légère variation liée au plafonnement des frais médicaux élevés, mais nous pouvons considérer que la part à débourser par les patients sera environ la même qu’en cas de grippe.

Sur la couverture des frais
par les dépenses publiques

Je passe maintenant aux tests de dépistage. Par souci d’équité entre l’utilisation des kits de tests qualitatifs d’antigènes et les tests pour les autres maladies, l’État ne financera plus les tests par les dépenses publiques, et une partie sera donc à la charge des patients.

Les tests intensifs de dépistage (etc.) sur le personnel d’institutions médicales dans lesquelles se trouvent de nombreuses personnes à risque d’aggravation des symptômes ou dans des établissements pour personnes âgées ou équivalent, resteront des tests de dépistage administratifs. (NdT : donc toujours pris en charge par l’État.)

Outre ces tests, les fonctions de consultation pour les examens médicaux et les installations d’hébergement et de traitement pour les personnes âgées et les femmes enceintes seront maintenues pour une période limitée.

J’en ai terminé sur la présentation des principales modifications du système de fourniture de soins médicaux et du soutien par les dépenses publiques relatives au changement de classification de la COVID en vertu de la loi sur les maladies infectieuses.

En cas d’apparition d’une
nouvelle souche
mutante dangereuse

Toutefois, nous avons inscrit dans la diapositive 9 comment nous gérerons l’apparition d’une souche mutante différant beaucoup en pathogénicité devait apparaître. Le principe de base est le suivant. Si les experts en reconnaissent la nécessité, comme au moment de l’apparition de la COVID-19, nous inscrirons cette nouvelle souche dans la liste des maladies infectieuses désignées en vertu de la loi sur les maladies infectieuses, et nous renforcerons les mesures.

En outre, si l’évaluation des symptômes démontre que ces souches peuvent mettre des vies en danger ou s’il faut craindre une propagation rapide, le ministre de la Santé, du Travail et des Affaires sociales en informera le Premier ministre. Dans ce cas, en vertu de la loi sur les mesures spéciales en cas de nouvelles grippes, nous établirons, entre autres, des quartiers généraux pour les contre-mesures au sein du Gouvernement et au niveau des préfectures. Nous réinstaurerons également le même système que ce que nous avons établi jusqu’à présent.

Mesures aux frontières

Je passe maintenant aux mesures aux frontières, etc. Avec le changement de classifications, les mesures aux frontières (relatives à la COVID) ne s’appliqueront plus. Cependant, là encore, si une souche mutante de pathogénicité très différente devait apparaître, nous instaurerions rapidement les mesures nécessaires aux frontières.

Traitement du COVID long

En outre, bien que cela ne soit pas directement lié à ce qui précède, nous continuerons à promouvoir des initiatives visant à garantir que les personnes souffrant de ce que l’on appelle un COVID long puissent recevoir un traitement dans un large éventail d’institutions médicales.

Calendrier

Comme je l’ai indiqué en introduction, pour cette décision des quartiers généraux du gouvernement pour les contre-mesures, nous avons recueilli les opinions de toutes les parties intéressées, avant de les étudier et de procéder à ces ajustements.

À partir de la semaine prochaine, nous tiendrons des séances d’information à l’intention des préfectures, etc., et recueillerons les avis des personnes sur le terrain, afin de rentrer plus dans les détails de notre mode de gestion. Nous souhaitons être très prudents dans le traitement de cette question. L’État, les autorités locales et les autres entités concernées collaboreront pour assurer une transition en douceur, avec la compréhension et la coopération du public. Enfin, les dernières vérifications pour cette transition auront lieu autour de la mi-avril, avant son implémentation finale. J’arrête ici mes explications.
 
※ Documents de référence : 「新型コロナウイルス感染症の感染症法上の位置づけの変更に伴う医療提供体制及び公費支援の見直し等について」(令和5年3月10日 新型コロナウイルス感染症対策本部決定)概要(スライド)

Questions de la presse

Pour résumer les principaux points…

Q : Le système médical et le soutien par les dépenses de santé vont changer après la classification dans la catégorie 5. Monsieur le Ministre, quels sont selon vous, les points importants ou de préoccupation 

Comme je l’ai expliqué en introduction, un des points est que, jusqu’à présent, ce ne sont plus un nombre limité d’établissements médicaux, mais l’ensemble des institutions médicales qui vont s’occuper de la COVID. C’est un grand changement. Cependant, cela doit se faire étape par étape.

Tout d’abord, nous allons continuer à demander l’aide des établissements médicaux qui gèrent déjà ce virus. Il en sera de même pour les mesures de soutien, par exemple, lorsque nous allons formuler la même demande à un nombre plus important de nouveaux établissements médicaux. Ceux-ci n’ont pas encore cette expérience. En particulier, le personnel des services ambulatoires pourrait se poser des questions sur la façon de se protéger, par exemple. Nous devrons correctement y répondre tout en prévoyant cet élargissement. C’est le premier point.

Ensuite, il y a ce qui concerne les différentes mesures. Nous devons tenir compte de la situation actuelle dans les institutions médicales, etc. et des points signalés par la Commission des comptes. Par conséquent, nous devons prévoir des mesures révisées qui en tiennent compte.

De même, les honoraires médicaux et pour les soins infirmiers vont faire l’objet d’une révision en avril de cette année. Par conséquent, s’il est nécessaire de procéder à des modifications avant cela, nous souhaitons les envisager au fur et à mesure. Finalement, comme je viens de l’énoncer, pour que le ticket modérateur, qui est la charge du public, n’induise pas une hausse soudaine des frais médicaux, on nous a pointé qu’il serait bien de garantir une équité avec la charge des frais médicaux liés à la grippe saisonnière. C’est pourquoi nous avons pris les décisions que je viens de présenter.

Comment enrôler plus d’établissements médicaux pour traiter les cas COVID ?

Q : Ma question concerne l’élargissement du nombre d’institutions médicales qui géreront la COVID-19. Dans l’ensemble, si les aides aux établissements médicaux diminuent, comment envisagez-vous d’enrôler plus d’établissements médicaux ?

Pour les soins en ambulatoires, elles devront suivre les directives des associations médicales (etc.) sur les mesures contre les infections dans les institutions médicales, et nous leur montrerons comment faire d’une manière non seulement sûre, mais aussi efficace.

Ensuite, nous continuerons les aides pour la maintenance du matériel et pour l’achat des équipements de protection individuelle, par exemple.

De plus, j’ai parlé de l’obligation de prise en charge des médecins, etc. Nous préparerons divers documents, notamment en précisant que le refus de prise en charge fondé uniquement sur la suspicion d’être ou d’avoir été infecté par la COVID-19 ne constitue pas une raison légitime.

Attribuer un rôle à
chaque établissement

Ensuite, nous prévoyons de les diffuser en coopération avec les autorités locales et les professionnels de la santé. C’est ce que nous souhaitons faire pour augmenter le nombre d’établissements médicaux qui accueillent ces patients. De même, pour ce qui touche aux hospitalisations, comme je l’ai expliqué, nous aspirons à impliquer tous les établissements médicaux. Les institutions médicales prioritaires, par exemple, tiendront un rôle de gestion des patients modérément ou gravement malades.

Nous demanderons que chaque établissement tienne son rôle.

De même, nous établirons une nouvelle exception tarifaire pour les patients éligibles afin de promouvoir activement l’accueil des personnes âgées, en particulier, dans les services de soins communautaires, etc. De plus, ainsi que je viens de le présenter, nous prévoyons d’enrôler ces établissements en proposant diverses mesures. Toutefois, comme je l’avais expliqué, chaque préfecture doit définir le contenu de son plan de transition pour faciliter l’accueil dans de nouveaux établissements médicaux et la coordination des hospitalisations entre les institutions médicales. Ils doivent donc garder à l’esprit les types spécifiques de patients et en tenir compte pour maintenir et augmenter le nombre d’établissements médicaux qui gèrent ces patients.

Que faire en cas de refus de prise en charge ?

Q : J’ai deux questions. La première concerne ce qui précède. Vous prévoyez de contrôler l’obligation de prise en charge pour augmenter les acceptations par les services ambulatoires. Toutefois, des établissements médicaux ont déjà refusé de participer en donnant pour raison qu’il leur serait difficile d’appliquer les mesures contre les infections. Je pense donc qu’il sera difficile de les contraindre avec l’obligation de prise en charge. Comment vous prévoyez de faire appliquer cette obligation de prise en charge et quelles seront les précautions à prendre ?

Ensuite, la seconde question porte sur le fait que vous avez mentionné que le système futur concernerait 64 000 établissements et 8 000 hospitalisations au maximum. Quels sont les objectifs pour parvenir à ces buts ?

Il y aura un paquet de mesures

J’ai mentionné l’obligation de prise en charge comme une des solutions. Nous allons revoir les diverses mesures d’aide et de gestion, et nous les présenterons comme un paquet de mesures. Par conséquent, nous souhaitons implémenter des solutions pour que les établissements médicaux avec un service ambulatoire, en particulier, commencent à accepter les patients alors qu’ils ne le faisaient pas jusqu’à présent.

Au stade actuel, je ne peux pas encore vous donner les détails sur la façon dont nous procéderons. Néanmoins, nous pensons de la manière suivante. En prévision du changement de classification, nous avons demandé la création des plans de transition. De plus, il est difficile de prévoir où se déclarera la prochaine propagation du virus à l’avenir. Par conséquent, je ne peux pas vous dire ce qui se passera. Simplement, ce que nous pouvons affirmer, avec l’expérience pendant ces trois dernières années, c’est que ce virus se propage en été et en hiver. C’est pourquoi nous souhaitons préparer le système pendant la propagation des infections en été, dans l’espoir que le système soit en place d’ici à l’hiver.

Combien de temps la période de transition durera-t-elle ?

Q : Ma question porte sur la période de transition. Cette fois, vous prévoyez une période de transition. Toutefois, quel serait votre calendrier pour revenir complètement à un système de fourniture de soins médicaux normal ?

Il serait difficile de dire quand nous pourrons le finaliser. Nous proposons des changements en faisant le point sur qui s’est passé jusqu’à présent. Cependant, il faut se souvenir qu’en avril de l’année prochaine, nous entrerons dans un nouveau système de calcul des honoraires médicaux, de soins infirmiers et de fourniture des soins médicaux (rémunération).

Nous suivons ces périodes, mais comme je viens de l’expliquer, nous ignorons quand le virus pourrait se manifester. Nous allons d’abord procéder en douceur à la transition en anticipant également une épidémie estivale. Pendant cette période, nous évaluerons les problèmes et si et comment corriger notre approche afin de construire une version sûre pour le prochain système. Par conséquent, si je tiens compte de nos expériences passées, comme nous anticipons une propagation du virus en hiver, nous souhaitons pouvoir la gérer.

Pourrait-elle se terminer en septembre 2023 ?

Q : Ma question est en relation avec ce point. Selon la situation cet été, la période de transition pourrait-elle se terminer fin septembre, par exemple ?

La raison pour laquelle nous avons fixé la fin du mois de septembre comme point de référence est que nous avons pris diverses mesures par le passé tout en garantissant les ressources financières nécessaires.

Nous avons en général géré la situation par tranches d’environ 3 ou 6 mois. En ce sens, fixer la fin du mois de septembre ici correspond à fixer un intervalle de temps pour ces mesures. Pour la gestion au delà de cette date, comme je viens de l’expliquer, nous devrons envisager ce qu’il convient de faire par la suite, tout en considérant les mesures prises durant cette période.

Comment vérifier les objectifs d’augmentation du nombre d’établissements traitants ?

Q : Ma question porte sur l’augmentation du nombre d’établissements médicaux qui accepteront les cas COVID. Mettons qu’il y ait actuellement 42 000 établissements, et que vous visez à en faire passer le nombre à 64 000, comment prévoyez-vous de vérifier et d’évaluer que vous avez bien atteint cet objectif ?

Comme je l’ai mentionné précédemment, nous aimerions mesurer, en coopération avec les autorités locales, les progrès accomplis en contrôlant régulièrement le nombre d’institutions médicales qui prennent de telles mesures, ce qui est déjà le cas aujourd’hui.

Actuellement, les établissements médicaux n’acceptent pas toujours tous les patients

Q : J’ai une question supplémentaire. Actuellement, on nous signale que parmi les 42 000 établissements de soins ambulatoires en cas de fièvre, les soins sont limités pour les patients qui développent de la fièvre, ou que certains établissements refusent les patients qui n’ont jamais consulté chez eux. Comment prévoyez-vous de gérer ce point ?

Nous aimerions que les établissements qui ont accueilli toutes sortes de patients jusqu’à présent continuent à le faire. Ensuite, nous demanderons aux endroits qui offrent principalement des consultations comme médecin de famille d’ouvrir leurs portes à une clientèle plus large. Ensuite, pour les établissements qui ne consultaient pas jusqu’à présent, nous leur demanderons de commencer à le faire. Je pense que nous devons gérer cela selon chaque situation.

Sur la liste des établissements qui traitent la COVID

Q : Sur le système médical ambulatoire, vous venez d’expliquer que vous continuerez à publier la liste des établissements médicaux qui fournissent des soins ambulatoires en cas de fièvre. Il me semble qu’actuellement, avant d’en publier le nom, les autorités locales sont organisées pour certifier les établissements médicaux pour faire des tests et recevoir un traitement médical comme centres ambulatoires en cas de fièvre. Prévoyez-vous de mettre fin à ce système ou prévoyez-vous de le maintenir ? Ou cela sera-t-il géré par les gouvernements locaux ?

Si nous maintenons cela pour le moment, nous maintenons aussi la façon actuelle de procéder.

Comment expliquer le changement de couverture des frais médicaux au public ?

Q : Ma question concerne la couverture par les dépenses publiques. Je suppose que la part que les patients vont payer augmentera aussi. Pourriez-vous leur adresser un message ?

Avec cette révision, nous mettrons fin à la gestion en vertu de la loi sur les maladies infectieuses. Nous demandions d’appliquer les mesures contre les infections qui en découlaient, par exemple, de réduire les activités (etc.) et de se faire hospitaliser. C’est pourquoi, à la base, c’était l’État qui finançait les coûts par les dépenses publiques. Cependant, comme cette fois, nous changeons les conditions nécessaires, à la base, une partie des frais seront à la charge du patient, comme c’est le cas pour les traitements non-Covid-19.

En revanche, pour éviter une augmentation soudaine de la charge, en particulier pour les personnes infectées par la COVID et par la grippe saisonnière, je pense à un bilan comparatif. Dans le cas des soins ambulatoires, les honoraires médicaux ne changent pas autant que cela, mais le prix des médicaments varie énormément. Par conséquent, en soutenant le coût des médicaments, nous demandons une charge équivalente à celle mentionnée précédemment.

Ensuite, pour les hospitalisations, il y a probablement plusieurs façons de diminuer l’augmentation brusque de la charge. Néanmoins, nous ne pouvons pas nous permettre de perdre du temps pour gérer ce système (etc.), tout en gardant à l’esprit qu’il s’agit d’une mesure relativement simple, nous soustrayons un maximum de 20 000 yens. Cela n’est pas parfait, mais cela devrait coûter à peu près autant ou un peu moins que la grippe saisonnière. Néanmoins, dans le cas de la COVID-19, on suppose une hospitalisation de 10 jours. Dans le cas de la grippe saisonnière, l’hospitalisation dure six jours. Par conséquent, lorsqu’on en tient compte, je pense que chacun peut comprendre que cela revient à peu près à la même chose.

Autres articles sur ce thème

Cet article a-t-il répondu à votre question?
Que pouvons-nous faire pour améliorer cet article?
Please submit the reason for your vote so that we can improve the article.