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L’Agence Nationale des Impôts au Japon a défini les critères d’imposition sur les successions selon la nationalité, le lieu de résidence des héritiers, du défunt, du patrimoine et selon les donations.
Même en ne vivant plus au Japon, si une personne qui a vécu au Japon décède, ses héritiers peuvent avoir à payer des droits de successions. Les règles ici.
Les personnes en situation de handicap bénéficient d’un crédit d’impôts au moment du règlement des successions. Cet article explique comment le calculer.
Avec la révision de la loi fiscale japonaise en 2023, la déclaration des donations a fait l’objet de changements importants. Le calcul de l’impôt sur les successions évolue en conséquence.
La National Tax Agency rappelle à tous les contribuables qu’il faut aussi déclarer les revenus qui ne proviennent pas du travail.
Après un PVT, il peut être nécessaire d’effectuer une déclaration fiscale dans son pays si l’on a gagné des revenus au Japon. Les règles pour les non-résidents fiscaux se trouvent ici.
Pour le Japon, le pays dans lequel il faut faire une déclaration d’impôt sur le revenu dépend du nombre d’années de séjour, de l’intention de vivre au Japon, du type de revenu, etc. Cet article décrit les principes de base du point de vue du système fiscal japonais.
Le gouvernement japonais explique en détail les mécanismes qui empêcheront la barrière des revenus de devenir un obstacle au travail à temps partiel.
Avant de quitter le Japon, il peut être nécessaire de désigner un administrateur fiscal. Celui-ci permet de gérer notamment les remboursements d’impôts.