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Comme toujours, Infos Locales au Japon et Infos Kyushu mettent ces documents à titre d’information. Nous pouvons avoir mal compris ou traduit l'information, ou celle-ci peut avoir évolué depuis l'écriture de cet article. Nous mettons également à jour nos articles si la situation le demande, mais cela peut parfois prendre du temps. Nous encourageons donc chacun à vérifier les informations à la source, et de se tenir régulièrement informés par NHK Japon ou NHK World.

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2022-03-11 Comité des experts sur la sortie des mesures prioritaires

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Table des matières

Le 11 mars 2022, le Dr. Omi détaillait les recommandations des experts pour la sortie des mesures prioritaires et l’organisation pour notre vie future.

Dr. Omi, Président du Comité des experts de la lutte contre le nouveau coronavirus

Bonjour.

En introduction, le gouvernement a proposé une compilation des informations sur la sixième vague.

Sur la compilation de ce que fait le gouvernement pendant la sixième vague

Nous en avons ensuite parlé. Les points soulignés correspondent aux restrictions d’activités, telles que les mesures prioritaires. Ensuite, les instructions qui ne sont pas soulignées représentent des mesures de renforcement. Par exemple, le renforcement du système médical, la prévention de l’aggravation des cas, etc.

En d’autres termes, il fait de nombreuses choses et les restrictions d’activités ne sont qu’une partie de ce qu’il fait, et il y a d’autres mesures. Concrètement, il présente une vue d’ensemble.

Sur le renforcement du système médical, en fait, je pense que les journalistes qui suivent le Conseil consultatif du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales savent déjà ce que je vais expliquer maintenant.

Comment réduire la charge de travail des hokenjos

Sur le ciblage des hokenjos… Les hokenjos sont particulièrement surchargés de travail. De même, pour maintenir les fonctions sociales, la mise en observation des cas contacts est passée de 10 à 7 jours. Ensuite, nous avons beaucoup parlé de se concentrer sur les hokenjos pour qu’ils fonctionnent, etc. Cela n’était pas écrit dans ce document, donc nous leur avons demandé de l’écrire, ce qui a été accepté.

Ne suffirait-il pas de s’appuyer uniquement sur le renforcement du système médical ?

Un autre point qui a beaucoup fait l’objet de discussions était le suivant. À partir de maintenant, ne suffirait-il pas de s’appuyer uniquement sur le renforcement du système médical ? En réponse à ce sujet, les professionnels de la santé ont expliqué qu’il ne s’agissait pas que de sécuriser des lits pour l’hospitalisation et des établissements médicaux temporaires, par exemple, ou de mettre les gens en observation à domicile.

En fait, il a été nécessaire de limiter un grand nombre de soins réguliers. Si le gouvernement n’écrivait pas aussi ces points, nous serions loin de la réalité. C’est ainsi qu’est né ce document.

Je le répète. Le fonctionnement des hokenjos est sous tensions. Nous avons énormément débattu sur la façon de se concentrer sur un fonctionnement approprié au variant Omicron dans les hokenjos. Vous le savez tous, n’est-ce pas.

Sur ce point, le gouvernement a considérablement augmenté le nombre de lits. Mais, nous avons considéré qu’il fallait aussi pointer que les soins réguliers ont considérablement fait l’objet de restrictions.

Ce que sont les études épidémiologiques

Le second document correspond à une autre perspective. Le Conseil consultatif a présenté ce contenu, mais avec ce qui se passe en Ukraine, l’information n’est pas passée. Cette information a été présentée pendant le Conseil consultatif. Il en a été aussi question pendant le comité des experts précédent. En outre, pour le Conseil consultatif de l’autre jour, les experts ont créé ce document qui reflète les divers avis.

Ce que vous aviez vu la dernière fois faisait l’objet de débats. Ce document est rédigé par quelques experts pour adresser les polémiques. Je dirais plutôt que si on lance un sujet, naturellement, on reçoit diverses opinions. Ce document reflète ces informations. Pour l’écrire, il a fallu travailler en étroite collaboration avec le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, qui s’oriente également dans cette direction. Ce sont des recommandations émises par tous ces experts (阿南英明, 太田圭洋, 大竹文雄, 岡部信彦, 押谷仁, 釜萢敏, 高山義浩, 中島一敏, 前田秀雄, 和田耕治, 脇田隆字, 尾身茂).

Nous partons du principe que tout le monde n’a pas compris ces points. C’est peut-être parce que nous n’avions mis assez d’efforts pour l’expliquer. Quoi qu’il en soit, je vais les expliquer rapidement.

Pourquoi faut-il revoir la stratégie concernant les cas contacts

Donc, cette fois, pourquoi faut-il revoir la stratégie concernant les cas contacts ? Il y a deux raisons.

  • Le fonctionnement de la société est entravé parce que les cas contacts ont besoin de s’absenter de leur lieu de travail. C’est un des premiers problèmes.
  • Le deuxième défi, c’est que les hokenjos sont débordés.

Pour résoudre ces deux défis, nous avons cherché dans quel sens nous orienter. Le résultat est ce document.

Certains le savent déjà, mais pour d’autres, cela n’est pas encore clair. Aussi, je reprends ces explications.

En fait, nous avons créé des mesures contre les clusters depuis le tout début de cette épidémie de COVID-19. Nous avons donc effectué deux types d’études épidémiologiques. C’est ce qui n’est probablement pas bien compris.

Remonter dans le temps

S’il n’y a qu’un seul terme d’étude épidémiologique active, on y fait deux choses tout à fait différentes. Nous l’avions expliqué, mais probablement mal, ce qui fait que cela n’avait pas été compris. Donc, si je reprends, les études épidémiologiques correspondent en réalité à deux enquêtes.

  1. La première est de remonter dans le temps.
  2. En second lieu, c’est d’avancer dans le temps.

La première est de remonter le passé. Comme cela n’est pas très positif de déclarer que « l’on se retourne sur le passé », nous avons changé le terme en « remonter le temps ». L’autre partie de l’étude est très différente des études qui remontent le temps.

Ce que nous faisons est original, et pratiquement aucun autre pays ne le fait. Nous le faisons depuis le tout début de la COVID. En cas de clusters, on trouve toute sorte de personnes infectées, et les hokenjos vérifient ce que cette personne a fait dans le passé. En faisant ainsi, on trouve comment elle a été infectée. On remonte à l’origine de la transmission au cluster. Cela permet d’empêcher qu’un cluster crée une chaine de clusters.

Cette méthode est particulièrement efficace en période de propagation, et nous pouvons affirmer que cela a eu un certain effet, pour ne pas dire grand effet sur les mesures contre propagation dans notre pays.

C’est à partir de cette expérience au Japon, que nous avons découvert les « Trois F ». Ce que l’on appelle dans le monde entier les « 3Cs » viennent de cette démarche.

Cette méthode, je le répète, consiste à regarder le passé. Il s’agit de revoir le passé des patients infectés. Nous avons appliqué cette méthode depuis toujours, et aucun autre pays ne le fait.

Orientation vers le futur

Le deuxième type d’étude est effectué dans la plupart des autres pays. Il s’agit d’une enquête orientée vers le futur.

On prend un cas contact, et on le suit en prévision du futur. En d’autres termes, on suit ce qui se passe demain, après-demain, etc. On peut ainsi identifier les personnes qui risqueraient une infection en étant son contact.

Ce qui est néanmoins très important, c’est que pour les trois raisons, à savoir

  1. La première, c’est le taux d’infection secondaire est particulièrement faible. Le taux d’infection d’autres personnes par un cas contact est extrêmement faible.
  2. Ensuite, l’incubation est particulièrement courte, puisqu’elle est d’un ou deux jours. Dans l’ordre, une personne infectée, qui fait un test de dépistage et il y a des cas contacts. Après avoir confirmé une infection et celui, les cas contacts sont déjà infectés quand on les prévient. Dans beaucoup de cas, ils ont déjà contaminé une deuxième génération ou une troisième génération de patients.
  3. Le turnover est rapide. Il est particulièrement difficile de gérer les cas contacts à la même vitesse que la propagation. Cela devenant difficile, et parce que ce n’est qu’une personne sur cinq qui contamine d’autres personnes (infection secondaire), les études épidémiologiques orientées sur le futur sont moins efficaces pour la prévention que ne le sont les études qui regardent le passé.

De plus, en situation de propagation, elles sont particulièrement difficiles.

Par conséquent, chacun doit se souvenir que c’est ce qui se passe.

Le but de ces enquêtes

Les études qui remontent le temps sont efficaces, mais celles qui s’orientent vers le futur ne sont pas aussi efficaces, même si l’on fait beaucoup d’efforts pour les poursuivre. Néanmoins, le Japon les mène quand même. Cela n’est pas une solution satisfaisante.

Toutefois, même quand il s’agit du variant Omicron, si l’on peut trouver les cas contacts de manière efficace, les études épidémiologiques peuvent être efficaces pour contenir les infections jusqu’à un certain niveau. Elles ne sont pas complètement inutiles.

Jusqu’à présent, ce sont les hokenjos qui mènent ces études. Néanmoins, même si les hokenjos doivent les faire, on pourrait demander à d’autres institutions ou aux particuliers de faire des enquêtes sans passer les hokenjos.

Par exemple, si mon fils ou ma fille est infectée, je n’ai pas besoin de passer par un hokenjo pour évaluer que je peux être infecté. Dans ce cas, je peux de moi-même évaluer que je suis un cas contact. Dans ce cas, je peux faire m’isoler en considérant que je suis peut-être infecté. C’est une possibilité.

Maintenant, si on part du principe de ce que je viens de dire, comment devrions-nous faire à compter de maintenant ?

Comment faire ces enquêtes en période de forte propagation

Les hokenjos sont particulièrement débordés en raison de la propagation du virus. Nous parlons de choisir des méthodes efficaces. Nous ne disons pas qu’il est nécessaire appliquer la même méthode partout, et à tout le pays. C’est plutôt qu’il existe des hokenjos qui peuvent même maintenant faire ces études épidémiologiques. Notamment, en province, selon les cas, ils ne sont pas débordés. Certains ne le sont peut-être, mais selon les cas, s’ils peuvent continuer comme c’était le cas, le consensus est qu’ils le fassent.

Par contre, comme tout dépend de la situation, si les hokenjos peuvent continuer comme d’habitude, ils sont encouragés à continuer ainsi. Il y a des régions dans lesquelles ces études sont compliquées à mener, ou si la situation ne le permet plus. Par exemple, il y arrive que la propagation est telle que la charge de travail des hokenjos soit très importante. Jusqu’à récemment, et encore maintenant, nous connaissons de telles situations. Dans ce cas, nous proposons de gérer la situation de deux manières.

  1. La première est la suivante. Il est impossible de tout faire en une seule fois. Il faut se concentrer sur des points précis. Dans ce cas, l’impact d’infections dans les établissements pour personnes âgées est particulièrement important, notamment puisque cela peut causer des décès. Dans ce cas, même si l’on parle de ciblage, le message est qu’il ne faut pas arrêter les études épidémiologiques.
  1. Le deuxième message, concerne la décision individuelle, dont je parlais tout à l’heure. S’il le décide, le hokenjo peut permettre de maintenir un minimum d’activités sociales (y compris le travail), plutôt que d’exiger des couvre-feux uniformes pour les individus. Il sera possible de mener de laisser les écoles et entreprises enquêter de manière volontaire, mais il n’est pas question que les hokenjos arrêtent toutes les études uniformément. Simplement, il s’agit de ne pas imposer une surcharge inutile.

Bref, nous les invitons à être vigilants sur ces points.

Les autres mesures de prévention

Ensuite, il est évident qu’indépendamment des enquêtes, il convient d’appliquer les mesures de prévention normales. En cas de fièvre, se reposer. C’est naturel. Bref, continuer à faire ce que tous font habituellement.

Pour finir, dans les régions qui permettent de faire ces études épidémiologiques, les hokenjos ont besoin de continuer à les faire. Par contre, même s’il faut les suspendre, ou même quand on se concentre sur une partie des endroits, il s’agit d’appliquer des mesures appropriées à la situation.

Arrêter les mesures peut amener une reprise de la propagation.

Cette fois, c’est ce que les experts de ce document recommandent. De son côté, à la base, le gouvernement doit décider de cette orientation générale. Pour les détails, le gouvernement précisera les détails plus tard, selon ce qu’il décide.

Clusters et nouveaux cas

IMG - 2022-03-11 nombre de cas et progression des clusters au Japon
2022-03-11 nombre de cas et progression des clusters au Japon

Un autre point important est le suivant. Ce graphe est très important. Il s’agit d’une comparaison entre les clusters pendant la cinquième et la sixième vague. Les couleurs des barres verticales correspondent aux lieux dans lesquels des clusters se sont formés. Les courbes correspondent à la tranche d’âge. Les couleurs de ces courbes montrent l’âge.

Ce sur quoi je souhaite insister, c’est que depuis le début de l’année, la composante en gris de ces barres, qui correspond aux établissements de restauration et de boisson), était présente au départ, mais a quasiment disparu.

Les clusters sont importants dans la catégorie bleue, les écoles, n’est-ce pas. Ensuite, en (orange et) rouge, les installations médicales et les établissements pour personnes âgées. En bleu plus foncé, les établissements pour les tous petits. Après, je vous laisse regarder cela en détail.

Ce que l’on constate, c’est que les clusters des établissements de restauration (etc.) sont progressivement remplacés par des clusters dans d’autres endroits.

Gérer la sixième vague à partir de maintenant

Nous en avons discuté et avons atteint un consensus. Même si l’on devait lever les mesures prioritaires, il faudra continuer à appliquer les mesures de prévention de base.

Ensuite, les mesures pour la prévention des pandémies, qui ciblent, en l’occurrence, les établissements de restauration, etc. devraient passer à un éventail plus large de cibles. Après, parce que l’on enregistre des décès dans le cas des établissements pour personnes âgées, il est particulièrement important d’intervenir précocement. Le Conseil consultatif l’a pointé l’autre jour et le comité des experts en avait aussi parlé l’autre fois pour le cas d’Okinawa.

Pour finir, il s’agit de reprendre ou de continuer les activités socio-économiques.

Jusqu’à présent, nous parlions de la formule « vaccin + test ». En dehors de ce système de « formule vaccin + test », une des solutions pour la reprise progressive est celle qui permet aux gouvernements locaux et entreprises privées d’utiliser les vaccinations, non pas dans la formule « vaccins et tests », mais de manière indépendante. Donc, dans certains cas, demander la vaccination, dans d’autres effectuer des tests. Cette solution pourrait s’appliquer indépendamment des mesures prioritaires.

La formule vaccin + test fait l’objet de nombreux débats, et il conviendra de continuer à débattre de ces points. Néanmoins, ici, nous sommes tous d’accord concernant ce que les gouvernements locaux feront sur ce sujet, même après la suspension des mesures prioritaires.

Par contre, les discussions continueront pour le système de vaccin + test continuera, puisqu’il y en a.

Faut-il sortir des mesures prioritaires ?

J’en arrive maintenant au contenu des discussions de ce jour.

Il ne s’agit pas de parler des préfectures en particulier. Il faudra bien y arriver. Le concept de base pour la levée des mesures était l’objet de nos discussions. Nous devions compiler les informations et en discuter et c’est ce que nous avons fait.

Sur ce point, nous avons à peu près un consensus, mais cela a fait l’objet d’une proposition de modifications. Je m’explique.

Les conditions nécessaires

Un point fait hésiter. Le nombre de personnes infectées augmente rapidement et le taux d’aggravation des cas augmente aussi progressivement. Si les deux augmentent, naturellement on ne peut pas lever les mesures. Comme c’est évident, cela ne fait pas l’objet de discussions.

Ensuite, quand le nombre de nouveaux cas descend de manière consistante, et quand le pourcentage d’aggravation des cas baisse aussi et le taux d’hospitalisations tombent sous 50%, il n’y a rien à débattre, même si nous en parlons sur le papier. Les points qui méritent que l’on en parle sont les deux points suivants.

  • La question est de savoir si, lorsque le nombre de nouveaux cas reste à un niveau élevé ou augmente légèrement, et la charge de travail du système médical diminue (taux d’occupation des lits, etc.), on pourrait lever les mesures prioritaires.
  • L’autre question est son contraire. Que faire quand le taux d’occupation des lits d’hôpitaux dépasse 50% ce qui est un niveau élevé, mais le nombre de nouveaux cas baisse ?

Il s’agit donc d’une des façons d’y réfléchir, et nous en avons discuté aujourd’hui.

Sur ce point, la plupart des membres du comité étaient « pour » (lever les mesures dans ces cas), mais quelques personnes, deux, il me semble, ont suggéré qu’il n’était pas nécessaire de se poser la question de savoir si « le nombre de nouveaux cas reste à un niveau élevé ou augmente légèrement ». Pour elles, il suffirait de décider que si « la charge de travail du système médical diminue (taux d’occupation des lits, etc.), on pourrait lever les mesures prioritaires ». Dans ce cas, on ne poserait pas de condition concernant une augmentation légère ou une stagnation du nombre de nouveaux cas.

Le problème face à l’inconnu

Leurs raisons étaient les suivantes. Pour eux, il suffisait de considérer seulement les lits pour l’hospitalisation. Si leur occupation diminuait, est-ce que cela ne suffirait pas ? Leurs questionnements s’appuyaient sur le fait que les vaccinations progressent. Par conséquent, il ne serait plus aussi important de surveiller le nombre de nouveaux cas, et tout ce qui serait important serait de réduire le nombre de cas graves. Cela a donc fait l’objet de discussions.

En revanche, même si le taux d’occupation des lits d’hôpitaux était faible, il pourrait augmenter rapidement et soudainement, alors que pour le moment, il stagne. S’il devait augmenter, cela aurait des répercussions sur le nombre d’aggravations des cas. L’opinion générale était que par prudence, nous avons donc décidé qu’il valait mieux indiquer ce critère, et c’est pour cela que nous avons décidé de l’inscrire.

Nous avons donc discuté sur ce concept de base, et comme je viens de le dire, quelques personnes ont suggéré de faire différemment, mais la grande majorité des membres ont choisi cette orientation.

En conclusion, jusqu’à présent, j’ai parlé pour ce qui concerne la sixième vague. Elle n’est pas complètement. Ou plutôt, même si nous levions les mesures prioritaires, nous serions toujours en période de sixième vague, puisqu’il y a toujours un nombre de patients.

En plus de cela, nous avons décidé de faire la chose suivante, nous avons conclu qu’il valait mieux le faire. En d’autres termes, comme nous ne savons pas ce qui va se passer une fois que nous aurons surmonté la sixième vague, il est nécessaire d’envisager le futur à moyen et long terme, et nous avons pensé qu’il faudrait le faire rapidement.

C’était notre consensus.

NdT: L’actualité bougeant vite, Infos Locales au Japon ne traduit pas les questions de la presse.

Source

Il est possible d’écouter cette conférence de presse ici : コロナ分科会・尾身会長が会見 イベント人数制限撤廃を議論(2022年3月11日) – YouTube

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